Atteo poursuit sa guerre civile en Espagne. Avec une petite unité de combattants, il s’est établi chez don Figueras, un vieillard aux allégeances fascistes. Prisonnier de son fauteuil roulant, le patriarche est dépendant du héros et de ses compagnons d’armes dont il ne partage évidemment pas les convictions. Une sorte de respect s’installe tout de même entre les deux gaillards qui ont en commun le deuil d’un fils, réel pour l’un, symbolique pour l’autre. Les républicains coulent des jours presque tranquilles au domaine, mais l’ennemi se rapproche.