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On est à table. Maman Hamster sert le poulet, les petits pois, les petites patates sautées... Léonardichon a l'air de tout manger. Le problème, c'est qu'il remplit ses joues, et qu'il refuse d'avaler. AVALE, LEONARDICHON! disent ses parents et le docteur. Mais c'est un petit hamster très entêté. Qui le convaincra de changer? Peut-être Tilda, la petite hamsterette de la maison d'à côté.

Une ogresse, ça mange des enfants, ça tout le monde le sait. Notre petit ogresse à nous rencontre un jour un problème : le petit garçon qu'elle a capturé pour son déjeuner n'a pas du tout peur d'elle, il sort de sa cage pour passer un peu la serpillière ou ranger des casseroles. Bref, la petite ogresse se rend compte qu'elle n'a plus vraiment envie de le manger. Et ça, quand on est une ogresse de sept ans, c'est très difficile à accepter...

Comme aujourd'hui c'est son anniversaire, Monsieur Guillaume a décidé de déjeuner au restaurant. La petite poule, le rat, le chat et le cochon d'hiver décident de l'accompagner... le loup aussi !

Depuis toujours, les rouges et les bleus sont ennemis. Personne ne sait plus pourquoi mais, c'est la guerre ! Chaque matin, les soldats des deux camps partent batailler. Chaque soir, ceux qui en réchappent ramènent leurs morts et leurs blessés. Il faut trouver une solution avant que les deux armées soient totalement décimées.
La guerre est un bel album grave et gris. Anaïs Vaugelade n'y montre jamais l'horreur de la guerre. Ses sinistres champs de bataille, ses personnages aux visages fermés se chargent de l'évoquer avec une efficacité rare. Ici, la guerre est un jeu imbécile conduit par des rois grotesques et leurs soldats pions. Mais le vrai combat ne se situe pas entre les rouges et les bleus. Il ne se déroule pas non plus entre Jules, le prince belliqueux et Fabien, le prince pacifiste. Dans cet album, le vrai combat se livre entre la guerre et la paix. La plus sage vaincra.

Contrairement à d'autres, Éli le lionceau est toujours content d'aller au lit. Quand on a un matelas magique, c'est nettement plus intéressant ! Il suffit de passer de l'autre côté. Si elles ont l'apparence de la réalité, les aventures nocturnes et rocambolesques d'Eli ne sont jamais loin du rêve.

Soixante-treize, c’est le nombre d’enfants dans la famille Quichon. Il y a Gaëtan Quichon, qui a des démêlés avec un cauchemar, et Philippe Quichon qui désire voler. Il y a aussi Diane Quichon, Paolo Quichon, la petite Cléo Quichon etcà ne vous inquiétez pas, bientôt vous les connaîtrez tous. Évidemment, soixante-treize enfants, c’est parfois un peu compliqué pour les parents. Il arrive que Maman Quichon ait du mal à les coucher, par exemple. Il arrive même qu’elle soit obligée de se fâcher. Mais quand vos soixante-treize petits cochons vous font un bisou tous en même temps, vous ne regrettez sûrement pas d’être mère.