Le Feu Sacré un titre très évocateur de la foi qui anime tous ceux qui travaillent chaque jour à notre sécurité : les Sapeurs-pompiers.
Un métier ou plutôt une véritable vocation malheureusement méconnue du grand public. Joan Deville aborde ainsi en spécialiste reconnu de la profession tous les aspects du sapeur-pompier en nous racontant son histoire aussi ancienne que le Feu. Des origines à nos jours, richement illustré et rythmé par Pascal Courault et François Bertin, Le Feu Sacré raconte la grande - et la petite - histoire du sapeur-pompier français. Les 144 pages grand format de ce très beau livre de référence présentent plus de 400 illustrations inédites.
L'ouvrage idéal pour mieux connaître l'histoire et le quotidien de ces 230 000 hommes et femmes qui ont le Le Feu Sacré

A l'heure où, trente ans après la décolonisation, le désenchantement s'empare du Tiers Monde, Arthur Conte entreprend de retracer Sereinement l'œuvre civilisatrice de la France coloniale jusqu'à 1940. Cette vaste fresque où se côtoient Jacques Cartier et Lyautey, Toussaint Louverture et Abd el-Krim, Jules Ferry et Paul Gauguin, Henry de Monfreid et Pépé le Moko, traverse cinq siècles d'une histoire nostalgique, souvent exaltante, riche en pittoresque mais aussi parfois tragique.
Sans rien cacher des côtés sombres de l'entreprise coloniale, Arthur Conte déroule, avec la minutie et la chaleur humaine qui ont fait le succès de son œuvre, le scénario d'un rêve immense et tricolore qui reste, aujourd'hui encore, inscrit au cœur de notre histoire : l'Empire français.

Ce guide de l'art n'est pas tout à fait comme les autres... Il se veut avant tout un ouvrage pratique, permettant une consultation rapide de toutes les références, afin d'accéder aisément à l'information recherchée. Par son format et sa présentation, le Guide de l'art-Peinture, sculpture, architecture du XIVe siècle à nos jours s'adresse tant au néophyte qu'à l'amateur éclairé. Articulé en vingt-six chapitres dont la conception offre une vision claire autant que précise du thème considéré - Giotto et le Trecento, la Renaissance, la perspective, le maniérisme, l'impressionnisme, le symbolisme, l'art abstrait, etc. -, il propose une approche globale des arts plastiques. Chaque chapitre se compose d'un essai de présentation historique du mouvement artistique considéré, de la biographie des principaux "protagonistes", d'un encadré consacré à un thème collatéral ou accessoire, d'un tableau synoptique portant sur la période considérée et de nombreuses illustrations commentées.

Votre père, votre mère, ont encore " toute leur tête ". Ils sont encore valides, ils sortent encore seuls. Mais, avec le mot " encore ", un processus nouveau s'est peu à peu engagé, sans que vous, ni eux, en ayez conscience. Vous réalisez qu'il va falloir, qu'il faut vous occuper d'eux comme ils se sont occupés de vous, jadis : les rôles se sont inversés. Or, vivre avec son parent âgé, que l'on partage ou non le même toit, pose beaucoup de problèmes : peut-on, et doit-on, le laisser chez lui, ou faut-il envisager un centre d'accueil ? Que faire, parfois, avec son chien, son chat ? Est-il toujours bon de l'aider, de le décharger des difficultés quotidiennes ? Comment combattre ses ruminations, combler sa solitude s'il ne sait pas s'occuper ? Jusqu'où naviguer dans chaque situation entre le trop et le pas assez ? Et préserver son existence propre, sans culpabiliser pour autant ?

L'État a ses raisons que l'Honneur souvent réprouve !
Le 1er juillet 1962, au lâche soulagement d'une France fatiguée d'avoir été jadis une grande Nation, l'Algérie û un État qui n'avait jamais existé û accédait à l'indépendance. Sujets français depuis 130 ans, des centaines de milliers de musulmans fidèles à leur patrie étaient trahis, reniés et abandonnés par celle-ci.
Ali le harki était l'un de ses humbles parmi lesquels, pendant plus d'un siècle, la France a tiré ses meilleurs soldatsà ceux, en tous cas, dont elle a le moins ménagé le sang.

Au début de mai 1940, l'armée française somnole dans les casemates de la ligne Siegfried. Elle s'effondre en quelques semaines devant la fulgurante attaque allemande. À la défaite succède la déroute, bientôt la débâcle. Plus de dix millions d'hommes et de femmes, civils et militaires mêlés, fuient les chars et les avions à croix noire. Mitraillés, bombardés, chassés de leurs villages en flammes, Belges, Hollandais et Français sont plus de 100 000 à périr sur les routes de la peur.Vilipendés, associés à l'épisode le plus honteux de la guerre, les victimes de l'exode sont les grands oubliés de l'Histoire. En faisant enfin revivre leur mémoire, leur détresse et leur martyre, Pierre Miquel rend justice à ces morts, à ces foules abandonnées, prises en otage, sacrifiées par un état décomposé.

Il suffit de parcourir les belles photographies qui illustrent l'ouvrage pour s'en convaincre : les paysans français ont changé davantage entre 1900 et 2000 qu'en plusieurs siècles. Avec eux, la vie quotidienne et les paysages de nos campagnes se sont transformés. C'est l'histoire de cette "révolution silencieuse" que Pierre Miquel raconte avec passion. Non sans nostalgie, il explique comment l'agriculture française, archaïque jusqu'en 1950, est devenue l'une des plus productives du monde. Les crises récentes et les excès de ce modèle agricole ne sont pas ignorés.

Il y a près de 400 ans, au terme d'un long et pénible voyage, une poignée de François débarquoit sur cette nouvelle terre avec la volonté de "faire un pays". Huit heures suffisent aujourd'hui pour traverser l'Atlantique et rejoindre nos cousins d'Amérique. Changer de continent sans être tout à fait perdu, c'est cela le Québec, dernière endave nord-américaine à majorité francophone, grand comme trois fois l'hexagone.

Francophone

Ce pays de 7 millions d'habitants se bat toujours aujourd'hui pour faire reconnaître son identité, son caractère "distinct", qui le différencient assurément du reste du Canada. Au carrefour de trois civilisations, les Québécois ont une culture commune française, un régime parlementaire typiquement britannique et une façon de vivre et de travailler parfaitement américaine. Tandis que la ville trépidante de Montréal joue l'avant-garde, l'exquise Québec entretient à souhait son image "vieille France".

" A quoi sert la préhistoire ? Voici la réponse : elle nous fait comprendre qui nous sommes, comment nous le sommes devenus et pourquoi. " Yves Coppens retrace l'histoire de l'homme et s'attache surtout à montrer l'extraordinaire progrès des disciplines qui traitent de ce grand sujet depuis quarante ans. Il a personnellement participé à toutes les grandes découvertes africaines et asiatiques pendant cette période, y compris à celle de la fameuse Lucy.

Des recettes simples et détaillées, la description précise des produits, des supports et des techniques d'application, afin de répondre à toutes les questions et de transmettre le savoir-faire des techniques picturales anciennes.

Le 26 avril 1933, Hermann Goering, président du Conseil de Prusse, annonce la création de la police secrète d’Etat - « Geheime Staatspolizei » - qui regroupe sous sa seule autorité les forces traditionnelles de sécurité, de maintien de l’ordre public et le département des enquêtes politiques organisé par Rudolf Diehls, « le seul homme capable de constituer un dossier et de l’utiliser ». Ce service Diehls a joué un rôle déterminant dans l’épuration des fonctionnaires qui applaudissent mollement aux succès du national-socialisme.
Cette police secrète, comme toutes les autres créations administratives du nouveau pouvoir, est connue tout d’abord sous les initiales G.S. (Geheime Staatspolizei) mais, très vite - dès le mois de juin - Diehls, avec, semble-t-il, l’aide de son chef du courrier à qui il avait demandé de lui proposer plusieurs cachets d’identification et de marque postale, impose un sigle plus mémorisable que les simples lettres G.S. : Gestapo. Trois syllabes qui, tout au long du IIIe Reich, symboliseront l’organisation et l’accomplissement de la barbarie.