Au-delà du temps, au-delà de la haine des hommes, l'affrontement amoureux de Bernard Sambre et de Julie, comme une braise incandescente, irradie de toute sa beauté ce chef-d'oeuvre de la BD. Yslaire écrit avec les mots fulgurants de la passion et dessine avec un élan flamboyant cet hymne à l'amour impossible. Sambre où l'illustration exacte et parfaite du « Romantisme », entre noirceur de l'âme et brûlure des sentiments. Un monument...

La demande était devenue trop forte... Des lecteurs hagards sillonnaient, la nuit, les rues des villes en quête d'une librairie de garde. Des lectrices aux yeux rougis se tordaient les bras en suppliant Monsieur Casterman de publier une quatrième compilation du Chat. Les intoxiqués d'humour rigolo 100 % poilant étaient en manque d'un nouveau livre de chevet. Alors, dans son infinie bonté, le Chat a dit : > Que ma nouvelle compilation soit ! et la nouvelle compilation fut. Loué soit le chat !

Des histoires courtes. Des regards tendres et justes sur l’essence de nos vies. Des histoires de temps qui passe, d’amour, d’amitié, de corps ou de souvenirs que l’on farde pour s’arranger un peu avec la réalité. Des histoires simples qui n’ont d’autre point commun que leur profonde humanité et leur capacité à nous faire prendre conscience des beaux momentsà

Une BD pour le plus répandu des métiers !
Il y a : celui qui voudrait continuer à travailler, celui qui emmerde le monde, celui qui en profite pour voir ses petits-enfants, celui qui s’arrange pour ne pas les voir, celui qui voyage autour du monde, celui qui ne quitte pas son fauteuil... vous voyez de qui il s’agit ? Les retraités, bien sûr ! Ils sont quinze millions en France, et puisqu’ils n’ont rien à faire de leurs journées, Jacky Goupil et Ohazar se sont dit qu’ils allaient leur proposer une BD rien que pour eux !Traitée sous forme de gags en une planche, cette nouvelle série raconte les mille et une facettes du plus répandu des métiers : la retraite.

Trois ans après le succès de La Peau de l'Ours, Zidrou et Oriol se retrouvent pour le conte Les 3 Fruits. Après 40 années de règne, le roi arrive au terme de sa vie. La peur de mourir devient son obsession. En échange de la vie éternelle, il promet sa fille à un mage démoniaque et devra manger la chair de son fils le plus valeureux... Zidrou joue avec les motifs traditionnels du conte (mise à l'épreuve des fils, répétition des séquences) pour nous offrir un voyage terrifiant, sublimé par les couleurs d'Oriol.

Deux hommes qui n'auraient jamais dû se croiser... Un aristocrate et un corse. Ils ont scellé un pacte, dans les tranchées de la Grande Guerre. Ils ont tout quitté, pour partir à l'aventure. Ils sont devenus les princes du Djebel. Ils ont défié l'Europe entière, l'arme au poing... ...Et tout ça, à cause d'un hérisson alcoolique.

Deux hommes qui n'auraient jamais dû se croiser... Un aristocrate et un Corse. Ils ont scellé un pacte, dans les tranchées de la Grande Guerre. Ils ont tout quitté, pour partir à l'aventure. Ils sont devenus les princes du Djebel. Ils ont défié l'Europe entière, l'arme au poing...Et tout ça, à cause d'un hérisson alcoolique.

Homme solitaire et froid, méthodique et consciencieux, le tueur ne s'embarrasse ni de scrupules ni de regrets. Tapi dans l'ombre, il guette sa prochaine victime. Plus l'attente dure et plus il s'énerve. Si les cartes sont truquées, il n'en sait rien encore. Gare aux éclaboussures...

On retrouve le Tueur au Vénézuela, au soleil. Il s'est refait, il a récupéré: il est même accompagné d'une fille superbe avec laquelle il semble se la couler douce. Il apprend de la bouche d'un autochtone qu'un Gringo est arrivé dans le coin. Pour le Tueur, ça sent mauvais. Il s'agit de Laporte, un flic qui avait commencé à prendre le Tueur en filature à Paris. Laporte se fait descendre dans la jungle, son cadavre est abandonné en pâture aux alligators. Le Tueur rentre alors à Paris demander des explications à Maître de la Streille, l'avocat véreux qui a procuré des contrats et blanchi son argent. Le Tueur veut récupérer tout son fric, pas si simple.

Impossible pour Le Tueur de couler des jours tranquilles. Et pourtant, après sa dernière étape à Paris, il aspirait à un peu de calme (cf. "Le Tueur" Tome 2). Malgré toutes les précautions qu’il n’a cessé de prendre le voilà pieds et poings liés, au moins pour un moment ; obligé d’acquitter une drôle de dette contractée - Ah!, s’il avait su... - envers un gros ponte de la Mafia colombienne. Le Parrain sait à qui il a affaire. Le Tueur pourra lui rendre de bons et loyaux services. Le Tueur, quant à lui, peut se permettre d’accepter de nouveaux contrats : ses conditions sont respectées. Ce n’est pas parce qu’il change de patron qu’il change ses principes.

Une grande ville. Le meilleur endroit possible pour passer inaperçu en attendant que les choses se tassent. Pour faire le point et voir venir, le Tueur se planque à Paris. Et puis le temps que "la fille", sa petite amie, se remette. Elle s'est fait salement amocher, au Venezuela. Attendre. Essayer de comprendre. Le cas échéant, buter les responsables. Mariano débarque (voir T3 : "La Dette"), comment a-t-il fait pour le retrouver, celui-là ? Le "parrain", l'oncle de Mariano, a bien apprécié les services du Tueur, il lui a donc envoyé son neveu pour le lui faire savoir et le mettre sur la piste de ceux qui ont esquinté "la fille". Mais on n'a rien sans rien. Le "parrain" ne lui rendrait pas un tel service sans en attendre un autre en retour. D'ailleurs, Mariano ne tardera pas à lui faire savoir de quoi il retourne... En tout cas, le Tueur est en train de déroger à sa sacro-sainte règle de solitude. Il y a des gens qui font leurs preuves, c'est comme ça. Affaire à suivre.