Que vous dire encore de l’alpage ?Il existe toujours. Nous y allons « en vacances ».Ce sont les vaches de Monsieur Arthur qui en mangent l’herbe.Pour nous, c’est finiàMais souvent, en plein hiver ou lorsque le temps me dure, je ferme les yeux, je le veux très fortàEt tout me revient : j’ai à nouveau quinze ans, je cours, libre, dans les grands espaces, je ris avec le soleil et le vent, je pleure de bonheur, je rêveà Je rêve oui, mais ce rêve était et demeure réalité et vérité.