Les gens de ma génération se souviennent de Noéle Noblecourt, évincée de la télévision française pour une parcelle de genou montrée à la caméra comme un défi à la censure et aux "bonnes mœurs". C'était sans prévoir le déferlement, dans les décennies qui ont suivi, des exhibitions en tous genres, de l'érotisme dits de téléréalité. Au fur et à mesure que se libéralise la sexualité, nos sociétés ont une peur grandissante de la maladie et de la mort...