Au cours d'une promenade, Célestine perd Siméon, son précieux petit pingouin de tissu. Quelle tristesse ! Ernest a beau apporter tous les doudous du monde, Célestine n'aime que Siméon. Une histoire délicate et tendre, à la fois poignante et joyeuse sur un sujet souvent traité par cet auteur : la perte et l'abandon.

Initialement paru en 1987, ce titre est devenu un classique dans de nombreux pays. C'est l'un des albums les plus émouvants de G. Vincent qui dévoile comment ses personnages se sont rencontrés.

Ernest et Célestine se rendent à un mariage. Chemin faisant, Ernest tombe et se blesse. Célestine s'en occupe. La fête est fichue, mais il faut s'en consoler. Une fois de plus l'opération "tendresse" fonctionne et le charme des personnages agit.

Elle s'appelle Rebecca, elle a six ans, bientôt et demi. Ses défenses immunitaires sont un peu faibles, mais elle ne compte pas se laisser faire: elle va prouver au monde qu'elle n'est pas une puce. Partie chasser la grenouille par temps de pluie, Rebecca attrape finalement Ernest, un drôle de microbe qui n'a pas la langue dans sa poche. Le genre d'ami bien utile à l‘heure où les parents se perdent dans leurs disputes de grands.